vendredi 31 décembre 2010

Un élément de décor qui m'a marqué: Le garçon du dernier rang:

Dans la pièce le garçon du dernier rang, il y a très peu d'éléments de décoration, mais on peut remarqué que coté jardin de la scène sont installé 4 chaises « collées » sur un mur j'ai trouvé ça assez original, mais je n'avais pas compris leurs utilités pour la pièce, mais au fur et à mesure que la pièce avançait on voyait les deux acteurs principaux : le professeur et l'élève les utiliser pour parler et discuter ensemble je pense que les chaises sont des éléments qui rapprochaient les deux protagonistes et instauraient un lien de complicité entre eux, mais plus simplement peut être que pour faciliter la tâche des personnes qui posaient le décor les chaises ont été posées directement sur la scène ainsi les acteurs n'ont plus qu'a se servir :-D.

Amel

dimanche 26 décembre 2010

compte rendu de "Slava's snowshow"

J'ai bien aimé ce spectacle , c'était super! Il n'y avait pas beaucoup de parole , mais il n'y en avait pas besoin d'en avoir car avec les gestes on comprennaient et on rigolaient. Le seul moment, à peut près, où il y avait des paroles c'était avec les téléphones , qui etait drôle avec les "à ce soir " , etc... Les clowns (sur scène) étaient très reliés avec les spectateurs (la salle) car pendant l'entracte les clowns leurs montaient dessus et nous envoyaient de la neige , puis après il y a eu les lachés de ballon dans toute la salle que nous nous faisions passés . A la fin , le finale étaient super bien , on ne s'y attendait pas .
Claudia.

Video annoncée Dissocia, 1ères juin 2010

Les vacances aidant, j'essaie de mettre en ligne un extrait video du travail des Premières 2009/2010, pour le "festival 1ères planches" au théâtre des Ateliers.

Le thème expérimenté par les 25 élèves du groupe pendant l'année est la représentation de la folie, à travers deux oeuvres contemporaines :
-Le monde merveilleux de Dissocia, d'Anthony Neilson (pièce vue aux célestins en décembre 2009, mise en scène Catherine Heargraves elle-même)
-4.48 Psychose, de Sarah Kane (programmé en mai 2011 aux ateliers).
Les élèves ont eu la chance d'être dirigés par Catherine Hargreaves, comédienne et metteuse en scène professionnelle.

L'extrait video (à suivre) correspond au début de Dissocia : une jeune fille a envoyé sa montre en réparation chez un horloger (suisse) parce qu'elle retardait d'une heure. Elle apprend avec stupéfaction d'un visiteur inattendu qu'en fait, ce n'est pas sa montre mais ELLE-MEME qui a perdu une heure lors d'un voyage en avion. Il lui faut donc retrouver son heure perdue en se rendant dans un étrange pays, nommé Dissocia. C'est le début d'une aventure complètement surréaliste, voyage aux confins de la folie...

dimanche 19 décembre 2010

New Globe Theater in New York Harbor - Shakespeare, Globe, Theatre, New, York, Governors, Island, Castle, Williams, Romer, Pacino, Kline, Foster - sciencestage.com Architecture

New Globe Theater in New York Harbor -
Un projet fou? transformer un bâtiment militaire, situé sur Governors Island à New York face à Manhattan, en une réplique américaine 21e siècle du célèbre théâtre du Globe londonien. Cliquez sur le lien ci-dessus pour écouter (en V.O.) les détails de ce projet...

dimanche 12 décembre 2010

The Globe theater

Pour préparer la séance de vendredi sur la mise en abyme, notamment dans Hamlet : une présentation powerpoint du Globe et de Shakespeare, en V.O. :

samedi 11 décembre 2010

L'Illusion comique à la télé : à vos postes!

Pour les terminales qui travaillent sur la mise en abyme au théâtre et ont du mal avec la lecture des alexandrins...
La télé vient à votre secours! une adaptation de l'Illusion Comique de CORNEILLE avec des comédiens de la COmédie Française, transposée à notre époque, est diffusée vendredi 17 décembre à 22H50 sur France 2.
Qu'on se le dise...
Synopsis : Pridamant n'a pas vu son fils Clindor depuis 10 ans. Un jour, il rencontre Alcandre, concierge d'un très grand hôtel parisien. Alcandre devine vite ce que cherche Pridamant et il lui propose de voir comment son fils a vécu pendant ces dix dernières années grâce à des illusions. Malheureusement, les révélations d'Alcandre sont désespérantes : Pridamant apprend que son fils mène une vie de miséreux, il est devenu le serviteur d'un certain Matamore et ne souhaite pas du tout être retrouvé. De son côté, Matamore attend la venue de la belle Isabelle...

dimanche 5 décembre 2010

Crains-tu le regard des autres ? - Orientation, test d'orientation gratuit, fiches métiers, conseils personnalisés : Imagine ton futur

Crains-tu le regard des autres ? - Orientation, test d'orientation gratuit, fiches métiers, conseils personnalisés : Imagine ton futur
Je clique sur ce lien (souligné ci-dessus), et je fais le point avec moi-même sur une question qu'on aborde souvent au théâtre, au moment du passage sur le plateau (en impro notamment) : ne pas avoir peur du regard des autres, bref savoir se faire confiance... Et vous?
C.M.

jeudi 2 décembre 2010

Le Prix Martin

Jeu scénique lors de la pensée des personnages, ou comment faire rire un auditoire:

A différents moments du jeu, les personnages ont un espèce de mini monologue, ou ils émettent leurs pensées. En effet, les acteurs disent leurs pensées. Lors de ces courts instants, le personnage est mis en avant par un jeu de lumière, ou le but est de mettre la scène dans le noir, et d'éclairer l'acteur avec une lumière brumeuse. La voix de ces personnages est en réalité enregistrée au préalable, et émise par le biais des hauts-parleurs de la salle. Lorsqu'une pensée est contée, les acteurs présents sur la scène s'immobilisent, en adoptant la "tendance statue", si je puis dire (hahaha...hum hum.) .Chronologiquement parlant, le rythme de la pièce est perturbé, de sorte que l'on a du mal a suivre dès les premiers mini monologues.
Aux premières pensées de ces personnages, un sentiment de surprise nous parviens, accru par les suivantes, qui lassent et nous laissent passer dans le monde du marchand de sable. Personnellement, je me suis lassé dès les premières pensées, qui m'ont conduit à un sentiment de monotonie, et bien sur de choc les premières fois.

Tom

La fameuse citation du Prix Martin

Cela fait maintenant 3 semaines que je suis allée voir le Prix Martin aux Célestins. Malgré une pièce que je n'ai pas particulièrement apprécié, il y a la citation de Ferdinand Martin ( un des acteurs principaux ) qui m'a marqué. A chaque fois qu'il disait cette phrase, j'étais prise d'un fou rire soudain qui me faisait pleurer. Cette citation était : "Le pont de la Handeck". Il la disait de manière accentué sur le H, de façon à ce que le mot ressemble à l'écrit plus à cela : "Le pont de la HHHHHHHandec". Il avait aussi un accent particulier quand il disait cette phrase, un accent pathétique et dans le même temps hystérique.
Je vais quand même vous expliquer pourquoi il disait toujours cette citation. Ferdinand Martin voulait précipiter ce voyage au pont de la Handeck car il voulait tuer son meilleur ami pour le punir de l'avoir trompé avec sa femme plusieurs fois. Et le pont de la Handeck est au-dessus d'un gouffre, donc il aurait suffi de le pousser pour qu'il se tue. Mais finalement il se résigne à faire cela et décide que leur amitié est plus importante qu'une femme même si en l'occurrence c'est la sienne.
Pauline R.

passages marquants de la pièce : "Le prix Martin".

J'ai bien aimé le passage où les comédiens arrivèrent par le fond de la salle et pour monter sur la scène marchent sur une petite planche en bois et en même temps de la neige tombait du plafond .

Il y avait aussi les passages : pour les apartés où les comédiens s'arrêtaient et la scène devenait noire, sauf pour le personnage qui faisait l'aparté, qui était éclairé comme dans un zoom au cinéma . Sauf qu'il ne parlait pas directement sur le plateau, mais les paroles étaient déjà enregistées, et il mimait en ouvrant très fort la bouche. J'ai trouvé ça intéressant mais bizarre. Je ne savais pas pourquoi les paroles étaient déja enregistrés mais ça faisait un petit plus .
Claudia

Le Prix Martin... Tout commença dans une pièce sombre...

Cette pièce était composée d'un sol noir, où l'on pouvait voir une inscription faite par un homme jouant avec un ami à un jeu de quille, et de sept mur noirs, brillants, que l'on pouvait faire pivoter.
Cette étrange pièce foncée met en évidence les personnages, habillés de blancs, écrus... ces murs délimitent la pièce, permettant de cacher la sortie et l'entrée des différents personnages, ou encore de nous laisser imaginer l'ouverture d'une fenêtre sur le monde lorsque l'un des personnage est "indisposé".
En plus de toutes ces qualités, le décor, pouvant pivoter sur lui-même comme je l'ai précédemment dit, est décoré d'un côté, permettant un dépaysement pour le spectateur (en Suisse), et l'impression de découvrir une nouvelle scène!
Hélas, et c'est ennuyeux lorsqu'on veut changer d'endroit, la marque laissée par le joueur reste présente, nous rappelant que ce n'est que du théâtre et que nous sommes assis dans un poulallier, nommé gentillement "Paradis" .
En bref, cette piece ne m'a vraiment pas plût: je n'aime pas beaucoup ce genre d'histoire "nian-nian où l'amour et la tromperie ne sont jamais très loin....
Peut etre l'aimerez vous si vous y allez, pour ma part, mon avis ne pourrait changer.
Manon.

Le Prix Martin - Avis


Le Prix Martin

Thème : Disposition des acteurs sur la scène


Le Prix Martin est une comédie en 3 actes d'Eugène Labiche, représentée pour la première fois à Paris,au Théatre Royal,le 5 février 1876.
Notre avis, très critique : Nous pensions nous attendre à quelque chose de plus fin et de plus raffiné,le jeu des acteurs laissait à désirer, la durée du spectacle s'est avérée ennuyeuse pour les spectateurs que nous étions, par exemple : les passages en aparté semblaient inutiles à l'intrigue du spectacle, l'histoire que la femme trompe son mari, n'était pas telle qu'on imaginait.Le mari n'était pas très courageux,on attendait qu'il surprenne sa femme en flagrant délit d'adultère avec son meilleur ami puis son cousin espagnol ! Le côté burlesque est trop souvent répété ainsi que les faux mélodrames.A notre étage,au paradis, des jeunes comme nous, personne ne rigolait aux blagues trop lourdes et ne réagissait aux répliques fades.
Notre conseil du jour :
N'allez jamais voir cette pièce,sauf si vous aimez dormir au théatre et gaspiller votre argent !
Safiatou & Gaetan

Le Prix Martin sous la neige !

Je vais vous parler d'un passage qui m'a marqué. Je suis allée voir "Le Prix Martin" aux Célestins avec les secondes il y a environ 3 semaines. Le seul et unique passage m'ayant plu et marqué, après 1h30 de pièce, est la neige qui s'est mise à tomber en couvrant les trois quarts de la scène. La neige a illuminé la scène, les personnages et la pièce (qui devenait vraiment ennuyante). Il faudrait le voir pour comprendre un peu plus ce que je vous dis puisque à l'écrit, cela n'a pas l'air très impressionant même si ce n'est pas un miracle. Un moment qui m'a tiré de mon semi-sommeil.
J'ai vraiment dormi pendant cette pièce, premièrement à cause des accents des personnages qui faisait que ce qu'ils disaient devenait incompréhensible. Deuxièment, l'histoire n'était pas passionante. On ne comprenait pas tout, la femme qui a trompé son mari avec un homme qu'elle vient de quitter, mais finalement elle le quitte pas, puis elle se fait draguer par un cousin d'un des personnages.. Bref, je pense que vous voyer ce que je veux dire. Enfin, les pensées des personnages étaient mis en scène bizarrement. Quand un personnage pensait une phrase, tout le monde sur scène s'immobilisait, la lumière se centrait sur ce personnages et la pensée était dit par une personne en dehors de la scène à l'aide d'un micro. Déjà qu'avec le micro ce n'est pas très clair, mais en plus avec les accents c'est carrément incompréhensible. Donc j'ai complétement décroché de la pièce et la seule occupation qui m'est venu à l'esprit c'était dormir. Heureusement, la neige est venue à mon secours et a réussi à me distraire 10 minutes.

Anastasia :D

Sentiments éprouvés pendant le spectacle " Le garçon du dernier rang "

Le vendredi 26 Novembre , on se rendait au théatre ,les Célestins en élèves sérieuses que nous sommes .En sachant que nous sommes arrivés a l'heure voire à l'avance ce qui on doit avouer est rare . Au début du spectacle nous sommes conduits comme des enfants devant des sucreries ou paola devant du chocolat .Tout au long du spectacle ,les regards méprisante de la tres tres haute société, vous avez bien lu tres tres haute société qui nous observaient de tres tres haut comme on disait précédement pourquoi ? en serai vous dire . Une chose est sure : on peut constater que les différences sociales comme on a appris en cours sont visibles meme de tres tres loin . Mine de rien nous sommes rentrées saines et sauves. En fait on se sentait plus proches de ce spectacle que des spectateurs lol =) !
peace

de paola & souad

Nos impressions sur la pièce de théâtre "Le marathon de New York"

Le vendredi 22 octobre nous sommes allés au théâtre des Ateliers pour voir "Maratona Di New York" (Le Marathon de New York), pièce écrite par Edoardo ERBA.
Cette pièce met en scène deux amis qui se préparent pour concourir lors du marathon de New York. Nous avons ainsi pu voir comment les acteurs se debrouillaient pour lire leurs textes de façon naturelle.
Nous avons pu constater que le décor était rudimentaire mais qu'il était très bien utilisé : par exemple, le rideau noir transparent, qui était à moitié baissé, soutenait le texte, permettant ainsi la liberté de mouvement des acteurs.
Par contre, pour les gestes des acteurs, nous avons trouvé qu'ils étaient trop répétitifs : les acteurs étaient toujours en train de courir sur place. Même si c'était du au thème, nous avons trouvé ça un peu lassant. Mais nous savons que ce spectacle n'a été répété que quelques heures, ce qui explique cet aspect "négatif".
D'un point de vue général, nous pouvons dire que la pièce était assez bien, interessante, avec pas mal d'humour, même si nous avons eu un peu de mal à comprendre la chute de l'histoire.

Cyrielle & Mélanie

Résumé clair de l'histoire " Le garçon du dernier rang"

Cette pièce nous explique l'histoire d'un professeur totalement désespéré par ses élèves médiocres qui n'accordent aucune importance à ses cours. Il lit plus attentivement la rédaction d'un élève , le sujet était de raconter les activités faites durant le weekend. Claude cet élève qui n'a fait aucune faute d'orthographe raconte qu'il est allé dans la famille d'un camarade de classe Rapha et qui laisse une suite à son histoire, ce qui intrigue Germain son professeur de français. Tout au long de l'histoire, Claude va continuer d'écrire ce qu'il entend ou voit dans cette famille qu'il apprécie beaucoup tout en faisant lire la suite à chaque fois à Germain si fasciné qu'il en fait profiter sa femme.


Noémie & Maureen :D

Le garçon du dernier rang

Le garçon du premier rang était, nous pensons la meilleure pièce que nous sommes allé voir au célestins jusqu'à maintenant.
Nous n'allons pas vous parler de l'histoire de la pièce mais plutôt d'un élément du décor.
"DES PANNEAUX MIROIR" Nous pouvons pas vous dire exactement à quoi ils servaient mais nous avons quand même quelques idées.
Ils y a peut être trois possibilités :
  • Séparer l'espace. Pour chaque changement d'endroit, de pièce les comédiens tiraient les panneaux et les changeaient de place.
  • Comme les célestins sont un théâtre à l'italienne, les gens placés plutôt dans l'arc de cercle ne pouvaient pas forcement bien voir. Les panneaux étant miroir permettaient donc à l'acteur de se placer devant le panneaux et donc être vu de pratiquement tout le monde.
  • De plus, ils permettaient aux acteurs de se parler " à soi même".

Bon voila quelques possibilités, après libre a vous d'imaginer à quoi ils pouvaient bien servir.

Adèle & Lyna.







LE GARCON DU DERNIER RANG

Le garçon du dernier rang

J AI ADORE CETTE PIECE DE THEATRE MEME SI SA MA PRIS TOUT MON VENDREDI SOIR .LES ACTEURS SONT PASSES DU RECIT A L ACTION ET DU REEL A L IMAGINAIRE ET C EST CE QUI MA PLUS DANS CETTE PIECE. C ETAIT TRES VIVANT ET PLEIN DE SURPRISES AVEC DU PUPS . CE QUE L ON AVAIT PAS DANS LES AUTRES PIECES COMME LE PRIX MARTIN QUI POUR MOI ETAIT TRES LOURD .


CHAIMA

Impressions sur les a partés du Prix Martin d'Eugène Labiche

Dans le Prix Martin d'Eugène Labiche, les apartés étaient nombreux. Le metteur en scène avait une étrange manière de les mettre en place : en effet lors de ces apartés le noir total se faisait sur scène, les acteurs s'immobilisaient. Seul le visage de la personne qui prononçait ces paroles était éclairé par un projecteur. D'ailleurs ce n'était pas l'acteur qui parlait du plateau mais sa voix enregistrée au préalable, souvent beaucoup plus forte que la voix de l'acteur sur scène.
J'ai trouvé cette mise en scène originale, mais très étrange, trop étrange. Le problème de ces apartés, c'est qu'ils coupaient l'action lors d'une scène drôle où tout se passe vite. Du coup, on ne pouvait pas rire, à chaque fois que l'action semblait s'accélérer, les apartés la ralentissaient. Cette méthode ramollissaient par exemple les quiproquos. Ce procédé était bien, certes, mais trop répétitif. Passé le premier effet de surprise, cette technique de zoom inspirée du cinéma devenait ennuyante...

Mélie

Le garçon du dernier rang

Une des scènes de cette pièce de théâtre a été particulièrement intéressante : lorsque le professeur lisait l'une des lettres de l'élève, celui-ci la vivait simultanément.
Dans ce passage, l'élève était chez son ami pour regarder un match de basketball. Il décrit la scène et les émotions de son ami ainsi que celles de ses parents. Le père de son ami était très excité lors de ce match, son ami aussi. Ils sont passionnés et à la fois stressés par le match comme si c'était un match décisif à leur vie. Pendant ce temps le professeur lisait la lettre attentivement à sa femme, il était surpris par le contenu de cette lettre, réalisés sur un ton ironique et moqueur.

Nous avons apprécié cette partie de la pièce car la mise en scène était originale et inventive. Elle change des scènes habituelles que nous pouvons regarder.

Cécile Destombes & Anaïs Conti

L'Opera Du Dragon de Heiner Müller


L'opéra du dragon joué au Célestins à Lyon est un spectacle musical mis en scène par Johanny Bert .
C'est à la fois une fable et un conte moderne où se mêle politique et amour et où la musique est très présente .
L'histoire est celle d'un peuple soumis aveuglement a l'autorité du Dragon qui les a anciennement " sauvés " du choléra et qui règne désormais en tyran .
A cela se mêle une histoire d'amour entre la jeune Elsa condamnée a se marier au Dragon et Lancelot , jeune héros rebelle voulant sauver la cité son emprise .

Ce qui nous a séduit est avant tout l'originalité de la mise en scène , le ballet des marionnettes manipulées par les acteurs
mais aussi l'humour et la modernité ajoutée a la fable héroïque.
Ce spectacle est innovant , drôle et sort de l'ordinaire , il nous a surpris et fasciné
à la fois .

Pauline et Carla =)
01. 16. 17. 62. 63.