jeudi 2 décembre 2010

Le Prix Martin... Tout commença dans une pièce sombre...

Cette pièce était composée d'un sol noir, où l'on pouvait voir une inscription faite par un homme jouant avec un ami à un jeu de quille, et de sept mur noirs, brillants, que l'on pouvait faire pivoter.
Cette étrange pièce foncée met en évidence les personnages, habillés de blancs, écrus... ces murs délimitent la pièce, permettant de cacher la sortie et l'entrée des différents personnages, ou encore de nous laisser imaginer l'ouverture d'une fenêtre sur le monde lorsque l'un des personnage est "indisposé".
En plus de toutes ces qualités, le décor, pouvant pivoter sur lui-même comme je l'ai précédemment dit, est décoré d'un côté, permettant un dépaysement pour le spectateur (en Suisse), et l'impression de découvrir une nouvelle scène!
Hélas, et c'est ennuyeux lorsqu'on veut changer d'endroit, la marque laissée par le joueur reste présente, nous rappelant que ce n'est que du théâtre et que nous sommes assis dans un poulallier, nommé gentillement "Paradis" .
En bref, cette piece ne m'a vraiment pas plût: je n'aime pas beaucoup ce genre d'histoire "nian-nian où l'amour et la tromperie ne sont jamais très loin....
Peut etre l'aimerez vous si vous y allez, pour ma part, mon avis ne pourrait changer.
Manon.

2 commentaires:

01. 16. 17. 62. 63.