lundi 21 mars 2011

Résumé de Vaudeville: "La Cagnote" d'Eugene LABICHE

"La Cagnote" est une piéce de Vaudeville écrite pas Eugéne LABICHE en 1864.
Cette piece nous raconte l'histoire d'un groupe de paysans venus découvrir et parcourir Paris avec une certaine cagnotte, gagner mysterieusement. Au restaurant, un serveur les soupsonnent de vol et va porter pleinte au comissariat de police.
Dans notre groupe, nous étions 4: Tom, carla, Mélie et moi et nous avions deux extraits dont un etait pour 6personnes et l'autre pour deux. Malgré le fait que nous n'avions pas compris le texte, le contexte, les personnage et surtout le comique, nous devions arranger le texte aux nombres d'apprenti-comediens et à la modernité de l'époque car il faut dire que certains thermes était inconnus pour nous. Le texte nous déplus fortement, nous avons songer a ne pas le representer devant le lycée jusqu'au jour où Mme Meffre est venu nous annoncéee qu'il n'y aurait pas de representation, ce qui fut un immence soulagement pour nous tous il faut dire !
Puis, aprés une démotivation total du groupe, nous avons décider qu'il serait temps que nous travaillons le texte et que nous le rendions drôle malgré le ridicule mais apres tout, le ridicule ne tue pas ;) Apres avoir tout arranger, bien répéter le texte etc... J'etait stresser de la jouer devant le groupe car je n'arrivait pas a cerner mon personnage qui n'était qu'un ventre répétant toujours la meme phrase. Le jour de l'évaluation, Mme Meffre est venue nous donnez conseil et nous a expliquer quelques suptiliter du texte car apres deux mois passé dessus, nous n'avions toujours pas compris. Le personnage que je devanit interpreter etait en realié un gros rustaud obese et jai trouver vraiment tres dur de jouer ce role ! Donc changement de programme au dernier moment ! Puis, au moment de passer sur scéne, un stress immence m'envahit ! J'en avait la cher de poule ! Puis, une fois installé, je me sentit zen, relaxé et confiente, puis nous nous mîmes a jouer et tout se passa bien. Cette sensation de stress total puis de décontraction d'un coup était assez étrange mais il faut dire que c'etait tres drole aussi.
Enfin ! Le Vaudeville était finit ! Ce fut un soulagement car travailler sur des textes qui ne nous attirent pas et que nous ne comprennons pas était assez déplaisant mais le Vaudeville est une experience a faire car il nous permet de nous adapter a des textes pas forcement de notre époque et donc a chercher les manieres de le rendre comprehensibles aux yeux de tous.

Pauline n°1

jeudi 17 mars 2011

Au spectacle, vendredi, Le Dragon d'Or

Vendredi 18 mars à 20H, nous allons voir
Le Dragon d'Or, pièce contemporaine de Roland Schmmelpfennig (elle a été écrite en 2008), mise en scène par Claudia Stavisky, directrice des Célestins.

C'est l'histoire d'un immeuble et de ses habitants. Au rez-de-chaussée se trouve un restaurant asiatique appelé le Dragon d'Or (d'où le titre), dont un jeune cuisinier clandestin qui souffre d'une intense rage de dents ; mais sans permis de séjour pas de dentiste... Il est à la recherche de sa soeur envoyée en Europe avant lui, qui a disparu. Dans les différents étages de l'immeuble, une dizaine de voisins dont nous allons entendre les destins croisés, mais racontés par seulement cinq acteurs.

Un projet apparemment fou (17 personnages portés par 5 acteurs) , une intrigue foisonnante à partir d'un thème nouveau au théâtre et un peu tabou : l'immigration illégale. Voilà une partie des défis que propose cette pièce.
C.M.




Petit bilan de votre expérience plateau sur le vaudeville


Bravo à toutes celles et ceux qui ont posté un billet sur leur expérience de jeu du vaudeville.

Vous avez tous pris conscience que le vaudeville est un style de comique assez appuyé : on ne peut donc pas le jouer "à moitié", il faut vraiment s' y engager dedans. De plus, le contexte de l'écriture, la langue, les situations proposées par le vaudeville ne sont pas faciles à déchiffrer pour un spectateur ou un apprenti comédien de 2011. Comment rire /faire rire à partir d'un texte du XIXe siècle? Telle est en effet la question, le défi à relever.

Après une première phase de découragement qui a duré plus ou moins longtemps selon les groupes (vous avez essayé de changé de texte, de partenaires, de ne pas jouer du tout etc), il vous a donc fallu passer par une étape de transposition du texte à notre époque pour en comprendre les enjeux. D'où des modernisations que vous évoquez bien dans vos articles et que j'ai validées.

Comme par magie, une fois que ce travail a été fait, une fois levée aussi la pression que j'avais peut-être indument mise d'une présentation devant d'autres classes, vous avez finalement trouvé les textes plus faciles à jouer ; vous avez pu vous "lâcher" et le résultat a été très largement concluant pour la majorité des groupes le jour J!

Quant à l'autonomie du travail en groupes dont vous avez fait l'expérience. J'y suis attachée même si cela a paru difficile à certains, parce que c'est une manière de vous faire prendre des initiatives, et que même les fausses voies sont intéressantes dans un apprentissage. C'est un fait aussi, la taille du groupe (25 élèves) ne permet pas des rencontres avec le professeur à chaque séance. J'ai donc privilégié en priorité le coaching des groupes qui me paraissaient le plus en souci ; ceux dont le texte aussi posait le plus de problèmes. Les autres ont donc fait des essais sans guide, avec les errances déjà évoquées, que vous avez finalement peu ou prou surmontées vaillamment. Encore bravo à tous.

Une autre méthode aurait été possible : le travail d'un groupe sur le plateau pendant que tous les autres groupes sont spectateurs. Je ne l'exclue pas. L'avantage est que le groupe qui travaille sur plateau est vraiment cadré et que tout le monde profite des corrections. L'inconvénient c'est qu'en une heure, seul un groupe ou au maximum deux jouent : les autres restent sur leurs fauteuils de spectateurs. A méditer...

Vous attendez maintenant tous avec impatience le travail sur
La Mastication des Morts, de P. Kerbrat. RV cette semaine pour le début de cette nouvelle aventure...
C.M.

mercredi 16 mars 2011

Notre travail de modernisation du Vaudeville

Le vaudeville est un genre de théâtre qui date du 17ème siècle. C'est une comédie légère et populaire mais un peu trop classique à mon goût. D'ailleurs, à la découverte d'une pièce de ce genre, l'affaire de la Rue Lurcine de Eugéne Labiche, mes camarades Maureen, Noémie et Cécile et moi n'avons pas vraiment compris le contexte de la pièce.. Après l'avoir relu à plusieurs reprises et avec l'aide de notre professeur, nous avons pu le mettre en scène.
Il fallait tout d'abord modernisé ce passage, alors nous avions changé quelques mots afin de le mettre au goût d'aujourd'hui pour que les spectateurs puissent le comprendre. J'ai connu un certain problème en jouant cette pièce, je n'aimais pas du tout mon rôle, et pour pouvoir se mettre bien dans la peau d'un personnage, il faut aimer son personnage. Je devais jouer un homme bourré.. En sachant que j'ai la voix très aigue, il était difficile pour moi de faire ce changement, je ne me sentais pas à l'aise en sachant que nous allions le jouer devant d'autres classes..
Nous avons revu toute la mise en scène de la pièce, et quelque chose n'allait pas du tout, alors la prof nous proposa de changer un peu les rôles afin que je puisse interpréter une fille :). Là, je me suis lâchée et ma difficulté était oublié. Les mots que nous avons changé étaient plus que bien.
En fin de compte, on a pas joué la pièce devant d'autre classe.. donc TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN ! Cette pièce qui était à la base assez classique et ennuyeuse est devenu divertissante et amusante.

Anaïs Conti

Mon appréciation sur la pièce de Vaux-de-Ville

Le texte sur lequel j'ai du travailler en quelques heures de Georges Feydeau, m'avait l'air plutôt simple à interpréter au départ. C'était l'histoire d'une femme mariée, Lucienne, se faisant courtiser par un jeune homme qu'elle repoussait, mais d'un coté, ne voulait pas vraiment le voir partir.
Bref, je le sentais bien. Seulement une fois sur scène pour le répéter devant Mme Meffre, je ne savais pas où me mettre et comment me déplacer sur l'estrade.
La professeur nous a alors conseillé mon camarade et moi pour les déplacements. Elle m'a aussi fait comprendre quelques phrases de mon texte, dont je ne déchiffrais pas le sens.
J'étais alors confiante, mais pas non plus impatiente de passer sur scène,car le texte ne m'avais pas emballé plus que ça.
Seulement, malgré moi-même, quelques problèmes sont intervenus pendant la prestation. Mais J'espère pouvoir me rattraper très prochainement.

Adèle.

Un personnage d'une scene de Vaudeville: Madame Follentin

Pendant les séances de répétition et même pendant l'évaluation le personnage de "Madame Follentin" m'as beaucoup plu car c'est un personnage assez ouvert et qui pour être bien jouer a besoin d'une certaine mise en scène c'est ce qui m'a permis de ne pas trop "m'effacer" d'autant plus que la scène que mes camarades et moi avont jouer est assez marrante car "Gabriel" est amoureux de la fille de "Madame Follentin" nommé "Marthe" , je crois même que c'est le seule rôle de depuis le début de l'année ou je me suis senti le plus a l'aise, les répliques n'étant pas longues je les ai appris assez vite et j'ai pus plus me concentrer sur la mise en scène et comment j'allais jouer mon personnage, malgré cela je ne pense pas avoir bien apprivoiser mon personnage et je pense que j'aurais pus faire mieux, néanmoins ce rôle m'a vraiment donné envie de m'améliorer et de mieux faire pour la prochaine fois. J'espère continuer a faire des pièces de théâtre comique car ce sont les seules que j'aime bien jouer, mais aussi parce qu' elles permettent au gens de rire tout simplement!

Amel

Monologue & Vaudeville par Anastasia

J'ai mal aux dents de Georges Feydeau. Un monologue assez bizarre car il raconte l'histoire d'un homme la veille de son mariage qui veut "profiter de la vie" une dernière fois. Sauf que rien ne se passe comme prévu à cause d'un taxi aux fenêtres ouvertes. Pour que ce soit plus compréhensible, et que je puisse le jouer plus facilement, j'ai modifié et modernisé le monologue. Au final, c'était la même histoire mais ce n'était pas un homme mais une femme, et j'ai changé quelques phrases.
Bon sur scène, c'était la catastrophe ! Pourtant je savais mon texte, et j'avais répété la scène des dizaines de fois. Je pense que cela ne vient pas que du stress, mais aussi du vaudeville. Je n'ai jamais vraiment vu une pièce de vaudeville jouée par des vrai comédiens. Donc je n'avais aucune idées de comment le jouer. Donc je me suis trouvé nulle et j'ai perdu tout mes moyens. En même temps, on est beaucoup d'élève dans l'option théâtre et Madame Meffre ne peut pas consacrer trop temps pour chaque élève. Donc mes impressions sur le vaudeville sont très négative. En plus d'avoir un comique lourd, les pièces de vaudeville ne sont pas du tout moderne donc ça nous plait pas forcément. Si j'avais su avant ce qu'était la vaudeville, j'aurai travaillé avec d'autre élève. Cela m'aurait permis de mieux m'en sortir..
Donc j'attends avec impatiente de jouer les textes de la Mastication des morts !
Anastasia

L'affaire de la rue Lourcine

Nous avons travaillé à quate sur une pièce de Eugène Labiche "L'affaire de la rue Lourcine". Nous n'étions pas très enthousiaste à l'idée de passer devant les autres élèves car notre pièce n'était pas très amusante ou même compréhensible si nous ne l'avions pas transformée un peu. Après l'avoir un peu "modernisée", elle était bien mieux et plus compréhensible pour les autres. On a rajouté un peu plus d'animation: une danse et unchant donc c'était, je pense, plus agréable à regarder pour le public. Au début, ce n'était pas très agréable à jouer car le Vaudeville est un comique lourd et ridicule. Donc pour ne pas paraître ridicule, il faut le jouer à fond ou ne rien faire mais ne pas se positionner entre les deux. Notre pièce n'était pas géniale, cela parlait (après avoir transformé la pièce) de deux copines qui sont sorties la veille et ne se rappellent plus de ce qu'elles ont fait mais grâce à la cousine d'une des deux copines on découvre qu'elles étaient dans un lieu pas fréquentable. Je ne sais pas si la pièce a plu mais pour moi je n'ai pas vraiment apprécié de jouer ça. Ce n'est pas instructif ou même intéressant bref je n'ai pas aimé.

Cécile

mardi 15 mars 2011

Mes impressions sur le Vaudeville par Pauline R

Le jour où Mme Meffre nous a donné à chacun nos textes, je ne savais pas encore ce qu'était le vaudeville. Ce fut au bout de plusieurs relectures que j'ai compris que c'était un comique lourd, burlesque et grotesque.
Les premières semaines, il faut le dire, je n'était pas ravie de travailler cette scène que je ne comprenais qu'à moitié. Avec Manon, nous sommes allées voir Mme Meffre si un changement de scène était envisageable. Et elle nous a proposé une autre pièce, "Le Dindon" de Georges Feydeau. Cette pièce ne m'a pas non plus "emballé", mais j'ai vite compris toutes les subtilités de la scène. Et après des reformulassions personnelles, la pièce nous a semblé plus intéressante.
Au bout de quelques séances, les idées ont commencés à se mettre en place et nous étions de plus en plus confiantes pour le jour de la représentation. Mais, nous avions encore beaucoup de problèmes à régler ... Et grâce aux autres groupes et à Mme Meffre, nous commencions à avoir une vraie mise en scène. Et cette élan de solidarité m'a beaucoup plus lors de ce dernier mois. J'ai trouvé le fait, que des personnes qui n'étaient pas impliquées dans notre travail, nous aident quand même, génial. Et ce fut vraiment à ce moment là que Manon et moi, nous nous sommes mises à croire en notre pièce et à lui trouver des points positifs.
Le jour de la représentation, j'étais assez fière de présenter cette pièce. Et même si le vaudeville n'est pas mon style de théâtre préféré, j'ai finalement apprécié d'apprendre cette pièce.
Maintenant, j'attends avec impatience de jouer mes textes sur "La Mastication des Morts" ... En espérant que le résultat soit au niveau de mes attentes ... :)
Pauline R.

dimanche 13 mars 2011

Manon et Pauline jouant leur Vaudeville.

L'affaire de la rue Lourcine de Eugène LABICHE

Nous avons travailler sur ce texte à quatre. C'était au départ un texte assez ennuyeux que nous n'avions absolument pas envie de travailler.L'histoire était qu'une femme surprenait son mari et un ami en train de se laver les mains complètement ivres qui essayaient de se rappeler où ils avaient passé la nuit tandis que le cousin les couvrait pour ne pas que la femme ne se mette dans une colère noire. Nous ne savions au départ pas comment mettre en scène cet extrait, nous l'avons au fur et a mesure modernisé et modifié afin que les spectateurs puissent comprendre la scène. Heureusement que nous avons eu le droit de changer des répliques et faire pratiquement la totalité de la mise en scène, cela nous a permis de faire un travail globalement autonome, ce qui était très bénéfique pour nous afin d'apprendre à se débrouiller seul et faire un travail d'équipe. Nous nous sommes tout au long de l'étude de cette scène bien entendu et nous avons pu chacune d'entre nous proposer des idées et mettre une petite touche personnelle à la scène.
Je pense que nous nous amuserons beaucoup sur les prochains textes à étudier puisque le Vaudeville était tout de même un style très Lourd.
Maureen

prestation théâtrale de la dernière séance avant les vacances

A l'attention de la seconde et de Mme Meffre
Je ne suis pas très fier de ma prestation sur la scène du "mini théâtre" a Lacassagne.
Pour des raisons particulières et tortueuses je ne connaissais pas mon texte, mais j'ai tout de même essayé de l'apprendre quelques heures avant la représentation (ce qui m'était assez difficile).
Je souhaiterai tout de même m'excuser auprès de l'ensemble de la classe et de Mme Meffre en particulier . . .


Ma dernière séance a été une sacrée expérience pour moi, avant de passer sur scène le texte était plus ou moins appris, les déplacement avait été étudier, vu et revue sur conseille de Mme Meffre. Mais lors du passage devant la classe, ma camarade et moi même avons stresser, et étions donc obliger de regarder nos textes, de nous souffler les réponses et avons complètement perdu le sens du déplacement, errant sur scène tout en bégayant.
Malgré toute ces difficultés qui a mon avis anéantiront ma note, j'ai trouvé la pièce intéressante, le personnage que j'adoptais me ressemblais beaucoup et les phrases prononcées par Pontagnac était déjà mienne mais dans un langage plus courant.


R.Bencherifa

mercredi 9 mars 2011

Résumé du travail sur La cagnotte d'Eugène Labiche

Dans le cadre du programme de théâtre en seconde, nous devions jouer une pièce de vaudeville. Dans notre petit groupe composé par Pauline Jullian, Carla Leis, Mélie Perrin et Tom Blanchet, annonçons tout de suite la couleur, le travail sur le vaudeville fut... laborieux.

Nous devions tout d'abord à la base travailler sur un texte de Feydeau il me semble, qui était à mon goût bien plus drôle à jouer et à représenter, mais il ne pouvait se faire qu'à deux personnes. Alors on a hérité de deux extraits de La Cagnotte d'Eugène Labiche. Cette pièce raconte comment un groupe de paysans viennent à Paris dépenser l'argent - la cagnotte - qu'ils ont gagné au jeu. Les personnages se retrouvent hélas vite confrontés à la police, les accusant de vol.
Le gros problème avec lequel on s'est heurté, c'est qu'en jouant ces petits extraits, on a pensé que le spectateur serait perdu et ne comprendrait pas du tout le contexte, les personnages... Je trouve par ailleurs que c'est le cas dans beaucoup de pièces, surtout de vaudeville, on se retrouve vite perdu lorsqu'on nous en présente qu'un extrait ou deux extraits. Par ailleurs, le texte ne nous plaisait pas. On le trouvait par dessus le marché avec un langage assez difficile (bon, XIXème siècle quoi...) et vraiment pas du tout amusant, avec rien de drôle. Or il est très difficile de travailler sur un texte qui ne nous plaît pas. En plus, on avait une pression folle de devoir représenter ça devant un public, on était paniqué, si bien qu'on rendait le texte encore plus morose. J'avoue aussi que dans un groupe de 25, nous étions en complète autonomie, donc nous n'avions eu presque aucuns conseils, ni pour nous expliquer le texte, ni pour nous aider à jouer. Et malgré mes efforts, mon groupe était triste, hésitant, et pas motivé, du tout, du tout, du tout. Pourtant Carla et moi avions décidé de prendre les choses en main, de modifier le texte, de le moderniser, de rajouter des accessoires, des idées de mise en scène, pour rendre l'affaire plus amusante, et surtout plus moderne. Ainsi dans une scène au commissariat, nous avons décidé que les paroles de l'homme qui donnait sa déposition étaient jouées en direct derrière lui, comme si c'était le reflet de sa pensée. Mais rien y faisait, la mauvaise humeur ambiante restait présente, et très très lourde.
Et puis un beau jour, le saut de joie. Mme Meffre nous annonce qu'on ne fera aucune représentation des vaudevilles. Certes tous ne s'en réjouirent pas, mais pour nous, ce fut un vrai soulagement ! Adieu pression, morosité, stress et angoisse ! Un peu comme par magie, le texte nous sourit. Bon, il était toujours pas très drôle, mais on était détendu, on riait. Et puis il y a eu des dizaines de rebondissement, et de changements à la dernière séance. On comprenait le vrai sens de notre texte 10 min avant de passer sur scène, et puis on décidait de supprimer complètement un personnage sur un coup de tête à la dernière minute. Mais bon, le travail devenait, après de longues séances difficiles, enfin amusant. Mon groupe s'était remotivé. Et c'était plus facile de travailler ! Même si le souvenir de cette séquence sur les vaudevilles n'était pas très agréable, elle s'est bien terminée, et maintenant nous avons vraiment hâte de passer à la suite, sur les textes de La mastication des morts :)

Mélie.

dimanche 6 mars 2011

Wanted pictures of you...

RAPPEL / Pour vos articles sur les vaudevilles, vous pouvez à loisir insérer des photos de répétitions ou du jeu plateau en les plaçant dans l'article ou dans l'album de photos du blog...
A bientôt !
C.M.

vendredi 4 mars 2011

L'affaire de la rue Lourcine de E. LABICHE.

Eugène LABICHE a écrit une pièce "L'affaire de la rue Lourcine", c'est une scène de cette pièce que j'ai jouée avec Maureen, Cécile et Anaïs.
Cette scène raconte le lendemain d'une sortie entre Lenglumé et Mistingue qui ne se souvienne absolument de rien. Par hasard, le cousin de Lenglumé ,qui vient pour récupérer son parapluie que se dernier ne lui a toujours pas rendu, va les aider pour ne pas que la Femme de Lenglumé se rende compte de quoi que se soit.

C'est en changeant les personnages de cette scène que nous avons réussi a l'adapter et a la jouer avec une grande réussite. Cette une pièce qui reste cependant intrigante et très amusante a jouer.

Lors de la petite représentation,devant les camarades, le stress a pris le dessus.. Nous avons du la recommencer, mais ensuite j'ai réussi a le contrôler.
Cette représentation n'était pas comme les autres, où l'on avait toujours le texte, c'était différents et beaucoup plus amusant.

Noémie.
01. 16. 17. 62. 63.